Les élèves de 1ere STAV service et production animale, ont , durant la semaine développement durable, réalisé une enquête sur l'utilisation de l'eau au sein de l'établissement.
L'enquête a été réalisée sur l'exploitation agricole du lycée pour les 1ere PA et sur le reste de l'établissement pour les SER.
Par la suite, nous avons fait une présentation de notre travail
Un être humain a besoin de 20 à 50 litres d’eau potable chaque jour pour satisfaire ses besoins. Aujourd’hui plus d’une personne sur six n’a pas accès à l’eau potable, et, chaque année, ce sont environ 1,5 million d’enfants qui meurent de maladies liées à la consommation d’eau insalubre. Apprendre à protéger et gérer durablement cette ressource précieuse est crucial pour l’avenir de notre planète.
L’eau alimente nos robinets, arrose nos cultures, permet le fonctionnement de nos usines. Elle assure pour nous des fonctions épuratrices et régulatrices. Enfin, elle nous accueille pour nos loisirs près de ses rivières, de ses lacs ou en bord de mer. En la préservant, nous nous protégeons car c’est la qualité de l’eau qui garantit la vie.
Précieuse, parfois rare, toujours fragile : L’eau est renouvelable, mais c’est toujours la même eau qui court à la surface de la planète. Il est donc essentiel de s’assurer au quotidien d’une qualité et d'une quantité d’eau suffisante pour satisfaire nos usages, mais aussi pour garder des rivières vivantes. C’est pourquoi il faut la préserver, la protéger et l’utiliser de façon responsable.
Et lors de l'année scolaire 2019-2020 nous allons poursuivre notre étude au Maroc
Voici le résultat de notre étude
L'étude sur la consommation dans l'établissement a montré:
Notre étude sur l'eau s'est poursuivie au Maroc.
Notre objectif : découvrir la thématique de l’eau dans un climat aride à semi-aride
Nous nous sommes rendus au CIPA à Douar Skoura.
Conscient des enjeux stratégiques liés au secteur de l'eau, le Royaume du Maroc a mis en œuvre une stratégie de développement basée sur la mise en valeur des ressources en eau. Le Musée Mohammed VI pour la civilisation de l'eau, joue le rôle de la pierre angulaire dans ce processus, en effet, il met en valeur le patrimoine hydraulique traditionnel sous tous ses aspects techniques, sociaux et culturels
Le Musée Mohammed VI pour la Civilisation de l’Eau au Maroc – AMAN a été créé par le Ministère des Habous et des Affaires Islamiques en hommage au génie marocain dans la gestion de l’eau, au rôle historique des Habous dans la régie de l’eau, et en hommage à l’œuvre contemporaine de feu sa majesté Hassan II et sa majesté Mohammed VI dans la politique et les réalisations hydrauliques du royaume. Édifice unique par sa situation aux portes de la ville ocre de Marrakech, ce musée est un projet inédit dans l’univers varié des musées au Maroc. A la fois musée d’anthropologie et des sciences, centre d’interprétation moderne et interactif, lieu d’enseignement, de rencontres et d’échange dédié à la connaissance et au savoir-faire hydraulique, il vient se positionner en tant que référence culturelle, historique, scientifique et technologique de l’Eau au Maroc. Le musée AMAN est à la fois un lieu d’histoire portant un regard bienveillant sur le passé, ses traditions et ses savoir-faire, et un lieu de bonnes pratiques et d’innovations techniques et technologiques résolument tourné vers le futur. Il se situe en plein milieu de l’emblématique palmeraie de Marrakech.
Dans l’optique de se doter d’une institution moderne, soucieuse et respectueuse de l’environnement, le musée Mohammed VI pour la civilisation de l’eau au Maroc intègre au sein même de sa conception architecturale et paysagère des procédés écologiques liés à la bonne gestion des ressources en eau. Le musée devient en lui-même un objet d’exposition faisant la démonstration de bonnes pratiques et d’innovations techniques en matière de Gestion Intégrée des Ressources en Eau (GIRE), tant au niveau du bâtiment que du projet du parc.
Traitement biologique
Marrakech est la quatrième ville du Maroc. Elle compte plus d’un million d’habitants. Au-cours des
dernières décennies, l’accroissement du tourisme a fortement contribué à son développement urbain et
démographique. Jusqu’en 2008, les eaux usées non-traitées de la région de Marrakech-Tensift-El Haouz
étaient déversées dans les oueds, tel l’oued Tensift.
La solution que Waterleau propose est un traitement biologique, conçu selon le procédé des boues activées.
Elle consiste en une succession d’étapes qui éliminent les indésirables, les matières en suspension, la pollution
carbonée et azotée ainsi que le phosphore.